Wednesday, August 13, 2008

Here we go again.....

When will people learn?

A recent incident in NDG has sparked new talk of a ban on certain breeds in the borough. This terrible incident, unfortunately, could have been avoided if only the owners would have properly confined their dog.

Why do we not enforce the existing leash laws in this city? And how will a ban on specific breeds possibly work? With all the complications of identifying a dog's breed, the resources needed to enforce such laws and the infrastructure needed to properly process any complaints, how will a city which can not even ensure that dogs are walked on leash when not in a designated area possibly go about effectively implementing such a plan?

The obvious answer is, it can not be enforced and those owners, of all breeds, who act irresponsibly will continue to do so with few, if any, repercussions. Banning specific breeds will not make anyone safer, insisting on responsible dog ownership will.

The next C-d-N/NDG borough council meeting is Tues. Sept. 2nd at 7 pm. Please keep an eye on the agenda.

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Getting ready to weather the storm

Friday, February 29, 2008

We want friends! / Nous cherchons des amis!


Not content to be alone in this cold and cruel world, we're looking for friends.

The MCC/CCM is always interested in hearing from like minded individuals or groups who are interested in working to make Montreal a human and canine friendly city.

If you're just what we're looking for, or we're just what you've been looking for, drop us a note at: coalitioncaninemontreal@gmail.com

Comme nous n'aimons pas être seuls dans ce monde froid et cruel, nous recherchons des amis!

La CCM/MCC est toujours intéressée à entendre les gens ou groupes qui partagent nos idées et qui sont intéressés à faire de Montréal une ville plaisante pour les gens et les chiens.

Si vous vous reconnaissez ou si vous nous reconnaissez, écrivez-nous à
coalitioncaninemontreal@gmail.com

Who we are / Qui sommes-nous

The Montreal Canine Coalition supports effective, all-breed animal laws and responsible dog ownership practices.

We aim to provide information on the ineffective nature of breed-specific legislation as well as propose alternative measures to deal with dog-related issues in the city of Montreal.

We are a network of interested and effected organizations, groups and individuals.

The Montreal Canine Coalition acknowledges the problems in Montreal involving dogs, but looks to better enforcement of existing leash, licensing and containment bylaws, education (and perhaps the development of community based resources, wouldn't that be nice?) and the implementation of generic dangerous dog regulations to solve these. In short, we aim to work with the borough or City to find solutions which are agreeable to them, while minimizing the negative impact on various dog-owning communities.

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La Coalition canine de Montréal soutient une règlementation efficace et non-discriminatoire en matière d'animaux de compagnie ainsi que des comportements responsables de la part de gardiens/propriétaires de chiens.

Nous voulons fournir de l'information sur l'inefficacité des interdictions de races et proposer d'autres méthodes pour traiter de la problématique canine à Montréal.

La Coalition est un réseau d'organismes, groupes et individus intéressés et affectés par la règlementation .

La Coalition reconnaît qu'il y a des problèmes à Montréal impliquant des chiens mais vise une meilleure application des règlements existants en matière d'enregistrement, de promenade et de confinement, une sensibilisation accrue (voire le développement de ressources communautaires res) et une mise en oeuvre d'une règlementation en matière de chiens dangereux, sans égard à la race, pour régler ces problèmes. Nous voulons travailler avec les instances municipales pour trouver des solutions qui plaisent à tous, tout en minimisant les impacts négatifs sur les différentes communautés canines.

Changements proposés au règlement de l'arrondissement Ville-Marie

Le conseil de l'arrondissement Ville-Marie envisagerait les changements suivants au règlement actuellement en vigueur:

- l'interdiction des pit bulls et de tout chien similaire

- le pouvoir, pour un policier, d'abattre sur le champ un chien ayant un comportement perçu comme dangereux

- limite de 2 chiens en laisse par personne

- obligation de museler en public tout chien jugé 'dangereux'

Ces changements sont à l'étude suite à la hausse récente d'incidents impliquant des chiens dans l'arrondissement, même si aucun détail de ces incidents a été divulgué au public. On pourrais considérer ridicules ces changements et ne pas s'y attarder, sauf qu'il y a peut-être quelques problèmes qui méritent d'être réglés.

Par exemple, le bon usage de la laisse est largement inconnu ici. Combien de problèmes pourraient être réglés si les ressources de l'arrondissement étaient tout simplement consacrées au respect des règlements existants?

Ne serait-il pas préférable de trouver des solutions pour rendre Ville-Marie plaisant pour les chiens (de toutes races) et les gens qui n'ont pas de chiens? Au lieu de regarder vers l'Ontario pour des réponses, le conseil d'arrondissement devrait peut-être étudier de meilleurs modèles, comme le règlement municipal de Calgary?

A cette fin, la Coalition canine de Montréal invite les gens à assister aux prochaines séances du Conseil d'arrondissement afin de pouvoir réagir quand ce projet sera déposé.

Prochaine assemblée
Mardi 4 mars, 19 h 00
Marché Bonsecours, 350 Saint-Paul Est

Monday, February 25, 2008

Un projet de loi suscite la controverse - Corus Nouvelles

Montréal | Mardi 12 fév 2008 | 05:41


(INFO690) - L'arrondissement Ville-Marie pourrait appliquer dès l'été prochain une politique des plus controversées envers les propriétaires de chiens à Montréal.

Afin de réduire les incidents liés aux animaux au centre-ville, l'arrondissement permettrait par exemple aux policiers de tirer à vue sur un chien qu'ils considèrent comme étant dangereux.

L'arrondissement, qui prévoit bannir les Pitt Bulls de son territoire, entend aussi rendre obligatoire le port de la muselière pour les chiens indisciplinés dans les espaces publics.

Les propriétaires de chiens devront aussi s'adapter aux nouvelles lois de l'arrondissement, car il leur sera interdit de sortir avec plus de deux chiens en laisse.

Le conseil de l'arrondissement étudie ce projet de loi depuis septembre dernier.

Si le maire Benoit Labonté va de l'avant avec cette nouvelle politique, elle pourrait être appliquée dès avril ou mai prochain.

Il sera interdit de promener plus de deux chiens dans Ville-Marie - La Presse

Mario Paquet (Photo Armand Trottier, La Presse)

Mario Paquet
Photo Armand Trottier, La Presse

Sara Champagne
Le samedi 19 janvier 2008
La Presse

L'aventure des neuf chiens de Mario Paquet, ce sans-abri du centre-ville qui avait été jusqu'en Cour supérieure pour sauver l'une de ses bêtes de l'euthanasie, achève. L'arrondissement de Ville-Marie est sur le point de modifier son règlement pour interdire de promener plus de deux chiens à la fois en laisse sur le domaine public, a appris La Presse.


Le nouveau règlement sera soumis à un premier vote des élus à la prochaine séance du conseil d'arrondissement, le 5 février. Il n'est pas exclu qu'il comporte une exception pour les gens dont le métier est de promener les chiens, mais la décision n'a pas encore été prise, indique-t-on à l'arrondissement.

Benoît Labonté, maire de Ville-Marie, explique que les nouvelles restrictions s'inscrivent dans la foulée des mesures qui ont été prises, l'été dernier, pour bannir les chiens du square Viger et du parc Émilie-Gamelin. Il se défend bien d'agir contre Mario Paquet ou sa meute de chiens.

«Je pense que tout le monde va comprendre que dans le contexte d'un centre-ville, on ne peut pas avoir cinq ou six chiens par personne sur le trottoir. Imaginez si on multiplie ce nombre de chiens par 20, 25 ou 30 citoyens. Nous sommes ici dans un endroit de cohabitation, pas dans un chenil», estime M. Labonté.

Découragé

Mario Paquet, lui, ne voit pas le nouveau règlement du même oeil. Dans son nouveau repère, à l'entrée d'un commerce vacant, angle Sainte-Catherine et Saint-Thimothée, il explique qu'il se sent visé directement. Il est découragé. D'autant plus que l'annonce survient deux semaines seulement après un autre incident impliquant ses chiens et un citoyen, mordu légèrement à deux endroits. Il s'agit du deuxième incident à survenir en deux ans.

«Il faisait noir et j'étais dos à l'homme qui a été attaqué par mes chiens, explique M. Paquet. Mes chiens ont voulu sauter sur son chien. C'est malheureux, mais j'avais omis de porter l'une de mes ceintures qui me relie à mes chiens par des laisses. Je n'ai pas pu agir.»

Si l'arrondissement va de l'avant avec l'adoption du nouveau règlement, M. Paquet prévient qu'il partira en croisade et qu'il n'hésitera pas à porter plainte auprès de la Commission des droits de la personne, en se basant sur sa condition sociale et son droit de propriété. «On fera circuler une pétition, ajoute-t-il. S'il le faut, j'irai même en Cour supérieure pour défendre mes droits à avoir des chiens dans la rue. Mes chiens sont ma famille, ma raison de vivre.»

À la Société de développement commercial (SDC) du Village, où on affirme avoir reçu de nombreuses plaintes des commerçants contre les chiens de M. Paquet, on approuve la décision de l'arrondissement. «On n'a rien contre Mario, il fait partie du quartier, de son âme, il est là depuis 10 ans. Sauf qu'on ne veut pas d'une troisième attaque», dit Bernard Plante, directeur général de la SDC.


Phénomène en hausse

Selon lui, le phénomène des sans-abri avec trois ou quatre chiens grimpe en popularité. On se l'explique mal, ajoute M. Plante. «Mais c'est dangereux. Comment voulez-vous retenir 600 ou 700 livres de pression au bout d'une laisse? Même un géant n'y arriverait pas.»


Celui qui a été attaqué abonde dans le même sens, et n'a pas l'intention de lâcher le morceau. «Je vais tout faire pour que les trois chiens de la meute qui ont sauté sur nous ne soient plus dans la rue, affirme Bradley Boss, qui était en compagnie de son ami le soir du 4 janvier quand il a été mordu. J'ai même écrit au maire de Montréal.»

Depuis l'incident, Mario Paquet affirme que trois de ses chiens sont tenus en muselière. Quand La Presse l'a rencontré, les neuf bêtes étaient réfugiées sous une bâche bleue. Il y avait du vent à écorner les boeufs, une journée parmi tant d'autres pour Mario Paquet qui a choisi la rue de plein gré.

Dogs meet tighter leashes in Ville-Marie - McGill Daily

Biggest overhaul of pet by-laws since the 1950s targets homeless, may allow police to shoot dogs deemed dangerous

By Martha Hunter
News Writer




Two dogs, and not a pup more: similar bans this past June displaced homeless from Berri Square and Viger Park.Rebecca Wild for The McGill Daily





Eight months after banning dogs in two of its parks over the summer, Ville-Marie has proposed a more extensive set of restrictions to curb the presence of dogs downtown.

The borough has suggested banning pit bulls from Ville-Marie, forbidding people from walking more than two dogs at once, and granting police power to shoot dogs they deem dangerous. Currently police are allowed to shoot only if an animal appears rabid.

The Ville-Marie administration asserts these measures are a necessary response to an increasing public outcry over ill-behaved dogs and their owners. Yet there is concern that the real targets are not dangerous dogs, but the homeless.

“They are the continuation of a campaign against marginalized people,” Bernard St-Jacques, a community organizer with Le Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM), said of the by-laws.

“They are not in the same logic as the problem,” St-Jacques added.

The banning of dogs in Berri Square and Viger Park in June was also criticized as being only a cover for displacing the homeless and street people.

Forced to leave the two parks, street people either moved on or rented cheap apartments in large groups, St-Jacques said, categorizing the time as the worst summer ever.

Rony Griffin, who owns an eight year-old Rottweiler named Sam, also thought the by-laws are targeting the wrong party.

“Blame the owners, not the dog,” he said.

Griffin called the by-laws stupid and said that he was particularly concerned about the proposed change that allows police to shoot dogs.

“If they shoot my dog, they better shoot me as well,” Griffin said.

A borough spokesperson told the The Montreal Gazette last week that downtown, Montrealers reported 19 dog bites to police in 2007, up from five in 2006.

Still, people are doubtful that the laws will even be effective at their stated goal. Pierre Barnoti, the Communications Director of the Montreal SPCA, singled out the pit-bull ban for particular scorn.

“Banning any breed of dog is not a good idea,” Barnoti said. “By banning one breed of dog, you’re just making the second most aggressive one move up.”

The city of Winnipeg, Manitoba was the first Canadian city to ban pit bulls in 1990, and in 2005, Ontario was the first to implement a province-wide ban.

Barnoti noted that aggression is not inherent in a breed. Rather, he said, it originates in the culture of how dogs are raised. Guard dogs are often used to patrol lumber lots and other businesses, but can escape easily after a snowfall.

He also urged police to use the same judgment with dangerous dogs as they do with aggressive humans if the by-laws are approved.

Ville-Marie is currently reviewing the by-laws, which could be implemented in April.

RAPSIM is preparing an open letter to Montreal newspapers about the by-laws, and will attend the March 4 council meeting when the changes will be put to vote.